1. Facteurs de chute généraux
Les chutes androgénétiques
Pour les chevelures crépues, elles sont moins communes et généralement plus lentes dans leur évolution, que pour les chevelures de type occidental.
Presque toujours héréditaires, elles sont dues à un dysfonctionnement des hormones androgènes au niveau du cuir chevelu et se manifestent par un affinement des cheveux puis par leur disparition progressive, sur des zones bien délimitées de la tête.
Chez l'homme, elles se traduisent par une calvitie graduelle sur les golfes et sur le vertex (tonsure), rarement par une calvitie totale. Chez la femme, elles se localisent sur le dessus de la tête et le vertex et apparaissent souvent à l'occasion d'une maternité ou, beaucoup plus tard, au moment de la ménopause.
Les chutes dues au stress
Le stress, la fatigue, un choc émotionnel violent peuvent entraîner une chute des cheveux diffuse, sur l'ensemble de la tête, ou (parfois pour la femme) localisée sur les côtés. Après l'arrivée en France, le désarroi que provoque le changement de climat et des habitudes de vie est souvent à l'origine de ce type de chute.
Les chutes par carence ferrique
Ce sont des chutes diffuses, sur l'ensemble de la tête, elles concernent principalement les femmes et débutent par un amincissement caractéristique de la kératine et de la racine des cheveux. Plus fréquentes chez les afro-antillaises que chez les occidentales, elles doivent faire l'objet d'un dépistage systématique, en cas de port du stérilet, de règles abondantes ou de maternités multiples.Conseil de bon sens : Consommez des aliments riches en fer tels que boudin noir, foie, viandes rouges, cacao, amandes... Et n'oubliez pas que la vitamine C facilite le transport du fer : un jus d’orange pris au cours du repas, multiplie par trois l’absorption du fer contenu dans les aliments ingérés.
Pour les chevelures crépues, elles sont moins communes et généralement plus lentes dans leur évolution, que pour les chevelures de type occidental.
Presque toujours héréditaires, elles sont dues à un dysfonctionnement des hormones androgènes au niveau du cuir chevelu et se manifestent par un affinement des cheveux puis par leur disparition progressive, sur des zones bien délimitées de la tête.
Chez l'homme, elles se traduisent par une calvitie graduelle sur les golfes et sur le vertex (tonsure), rarement par une calvitie totale. Chez la femme, elles se localisent sur le dessus de la tête et le vertex et apparaissent souvent à l'occasion d'une maternité ou, beaucoup plus tard, au moment de la ménopause.
Les chutes dues au stress
Le stress, la fatigue, un choc émotionnel violent peuvent entraîner une chute des cheveux diffuse, sur l'ensemble de la tête, ou (parfois pour la femme) localisée sur les côtés. Après l'arrivée en France, le désarroi que provoque le changement de climat et des habitudes de vie est souvent à l'origine de ce type de chute.
Les chutes par carence ferrique
Ce sont des chutes diffuses, sur l'ensemble de la tête, elles concernent principalement les femmes et débutent par un amincissement caractéristique de la kératine et de la racine des cheveux. Plus fréquentes chez les afro-antillaises que chez les occidentales, elles doivent faire l'objet d'un dépistage systématique, en cas de port du stérilet, de règles abondantes ou de maternités multiples.Conseil de bon sens : Consommez des aliments riches en fer tels que boudin noir, foie, viandes rouges, cacao, amandes... Et n'oubliez pas que la vitamine C facilite le transport du fer : un jus d’orange pris au cours du repas, multiplie par trois l’absorption du fer contenu dans les aliments ingérés.
2. Facteurs de chute liés à la coiffure
a.Les chutes par traction
Elles sont déclenchées par la traction continue que les petites tresses et les rajouts exercent sur le bulbe. Traction qui éloigne les racines de leur zone d'irrigation et précipite la chute des cheveux. Trop souvent sollicités à produire de nouvelles repousses, les follicules pileux s'atrophient lentement et finissent par ne plus en produire du tout.
Le dégarnissement commence souvent par un recul de l'implantation capillaire, sur le devant. Aux stades les plus sévères, ces chutes présentent l'aspect classique d'une fausse pelade, sur les zones où la traction s'exerce fortement : front d'abord, mais aussi côtés et nuque. Cheveux moins nombreux également sur le vertex.
Le trouble s'accompagne parfois de signes d'inflammation des follicules pileux (folliculites), avec formation de minuscules pustules, autour des cheveux ou des repousses.
Conseil de bon sens lorsque les symptômes d'une chute par traction sont repérés, la première recommandation est de vous inciter à alléger le poids de vos rajouts (si vous en portez) et de composer des nattes plus lâches sur les premiers centimètres, au départ de la racine. Cela permet à votre chevelure de respirer et de ne pas souffrir des variations atmosphériques : quand l'air est sec, les cheveux sont moins élastiques, ils se rétractent, les racines sont tirées vers l'extérieur (ce qui contribue à les affaiblir).
Elles sont déclenchées par la traction continue que les petites tresses et les rajouts exercent sur le bulbe. Traction qui éloigne les racines de leur zone d'irrigation et précipite la chute des cheveux. Trop souvent sollicités à produire de nouvelles repousses, les follicules pileux s'atrophient lentement et finissent par ne plus en produire du tout.
Le dégarnissement commence souvent par un recul de l'implantation capillaire, sur le devant. Aux stades les plus sévères, ces chutes présentent l'aspect classique d'une fausse pelade, sur les zones où la traction s'exerce fortement : front d'abord, mais aussi côtés et nuque. Cheveux moins nombreux également sur le vertex.
Le trouble s'accompagne parfois de signes d'inflammation des follicules pileux (folliculites), avec formation de minuscules pustules, autour des cheveux ou des repousses.
Conseil de bon sens lorsque les symptômes d'une chute par traction sont repérés, la première recommandation est de vous inciter à alléger le poids de vos rajouts (si vous en portez) et de composer des nattes plus lâches sur les premiers centimètres, au départ de la racine. Cela permet à votre chevelure de respirer et de ne pas souffrir des variations atmosphériques : quand l'air est sec, les cheveux sont moins élastiques, ils se rétractent, les racines sont tirées vers l'extérieur (ce qui contribue à les affaiblir).
b.Les chutes dûes aux défrisages
Elles sont liées à la fragilité du cheveu défrisé et peuvent entraîner une brisure des tiges pilaires à toutes les longueurs, y compris au ras du cuir chevelu. Cette fragilité est majeure, là où les cheveux ont été le plus malmenés par le nattage et les rajouts. Le front, par exemple, présente souvent un aspect d'épilation caractéristique, parfois accompagnée d'une dermite réactionnelle au défrisage.
deux types de chute peuvent coexister sur une même chevelure. Il est en effet fréquent qu'une chute provoquée par les défrisages soit couplée à une autre (chute par traction, manque de fer, hormonale...). Pour distinguer une perte par cassure, la main qui passe dans la chevelure ramène non pas des cheveux entiers avec leurs racines mais des bouts de cheveux, parfois même des touffes entières de cheveux cassés.
Conseils de bon sens. L'application du produit défrisant doit commencer à 5 mm environ des racines, afin qu'il ne risque pas d'endommager votre cuir chevelu. Il ne doit être appliqué que sur les repousses frisées, surtout pas sur les longueurs défrisées. Enfin, il ne faut jamais défriser ses cheveux, juste après un nattage, ils n'y résisteraient pas... Un délai de quinze jours minimum, accompagné de soins intensifs, est nécessaire pour permettre aux racines de se réoxygéner.
source de l'article : http://www.centre-clauderer.com/
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